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    Le Printemps

     

     

    Le Printemps

     

     

    Le Printemps

    Le Printemps

    Le Printemps

     

     

    Quand commence le printemps,

     La nature s’éveille doucement.

     Saison de fleurs et des plaisirs,

     Beau temps parfumé de zéphire.

     Pour éblouir nos yeux le ciel sort ses couleurs,

     Et! Il devient troubadour.

     Immense symphonie ou les fleurs,

     Se mélangent en un jour aux bourgeons de velours.

     Sous la douce et fragile lumière,

     Herbes frêles, rameaux tendres et roses trémières.

     L’ombre qui les frôle et le vent qui les noue,

     Toute vie autour de nous.

     Quand le soleil commence à baisser,

     La fin de l’après midi va arriver.

     Les oiseaux n’arrêtent pas de chanter,

     Emerveillés par la luminosité.

     Ils publient leurs noces dans le ciel,

     Les arbres se sont habillés en couleur pastel.

     Tandis que sous les branches, les amoureux de mèche,

     Pour se compter fleurette, se contente d’être à la fraîche.

     Pendant que roucoulent les tourterelles,

     Il tombe une pluie d’hirondelles.

     Oui!!! Le printemps est là.

     

     

    Le Printemps

     

     


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  • Une rivière, une grand-mère

      

     

    Une maison, une grand-mère 

      

     

    La rivière coulait paisiblement

     Là bas à l’orée de la vieille maison

     Une grand-mère au visage burinée

     Se tenait assise sur une chaise

     On entendait la rivière, les oiseaux

     Tantôt que le soleil réchauffait ses vieux os

     Ici le temps semblait s’être arrêté

     On se serait dit au siècle dernier

     La vie y était paisible Bien à l’abri de ces nuisances sonores

     De ces pollutions et de ses déforestations

     La nature était restée intacte

     Et le temps aimait s’y arrêter.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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     L’Amitié

     L’amitié est une religion sans Dieu ni jugement dernier.  

     Sans diable non plus.  

     Une religion qui n’est pas étrangère à l’amour.  

     Mais un amour où la guerre et la haine sont proscrites,

      Où le silence est possible.  

     Ce pourrait être l’état idéal de l’existence.  

     Un état apaisant.  

     Un lieu nécessaire et rare.  

     Il ne souffre aucune impureté.  

     L’autre, en face,

    L’être qu’on aime est non seulement un miroir qui réfléchit, 

     C’est aussi l’autre soi-même rêvé.  

     


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